Bonjour,

J'ai connu les deux .

Le Monnier , René qui à passé son BS Chef de Quart à Lanvéoc-Poulmic avec moi (Premier semestre 1975) qui à été commander la vedette de 21m "KARUKERA" en Guadeloupe.

L'autre (je ne sais plus si son nom s'ecrivait Le Monnier ou Lemonnier), Frédérique devait être à Brest en 1974/1975.

Il roulait autant que je m'en souvienne en Jaguar Type "E" (Gris métal) ,comme vous pouvez l'imaginer ce n'était pas "Banal" et c'est pour cela que je m'en souviens encore.
Il était un spécialiste de la mécanique de la marque JAGUAR, il se disait à l'époque que le concessionnaire de Brest avait recours a ses connaissances......

Amicalement, Jacques COAT

la jaguar type E, mon rêve de gamin - 240 chrono et 25 litres au cent- .
Je l'a voulais rouge, puis je me suis orienté vers la matra jet 6, moins cher.

On disait que dans notre région les gendarmes avaient reçu du ministère des Alpines Renault
pour contrer certains automobilistes. ( autoroute A7 )

J'ai aussi connu un autre gendarme maritime,qui roulait en Jaguar type E.Il s'appelle Giry (orthographe pas garantie)
nous jouions en sélection marine de rugby à Brest.
Giry (grand ,bien dégarni, aller presque chauve...)jouait 2 ème ligne.Il y avait aussi le lieutenant Dugay qui jouait arriere
et qui avait bien sauvé la mise de mon pote J.C.Goyet 2eme ligne de Bourgoin (DE PROFUNDIS)qui s'était fait piquer
les papiers de la 403 alors que nous nous humections la glotte (sans modérations) a u siege du rugby club Brestois
dont je crois que le PDT de l'époque était un ancien flic mar.
Il y enavait d'autres à marine brest Sylvestre un pilier et d'autres encore dont les noms m'échappent.Je joindrais q.q.
photos dès que je les aurais retrouvé
à+ Bibi
p.s.tout ça aux ordres de Mr le médecin Baron un type formidable.

Suite à ton mail,

Tu m'as mis le doute.....

"J'ai la mémoire qui flanche, je me souviens plus très bien......"

Comme l'éventualité d'avoir deux gendarmes maritimes qui roulent à Brest à cette époque en jaguar "type E" est statistiquement extrêmement faible , voir improbable tu as certainement raison il doit s'agir de Giry.
Le propriétaire de la "E" avait effectivement comme disent les antillais une "Tête coco" (chauve).

Quant à "Lemonnier, frédérique" c'était peut être bien un electricien embarqué......

Donc, c'était Giry, l'homme qui parlait à l'oreille des Jaguars.............................!

"le doute m'habite et l'effet se resserre"

Amicalement,Jack

Bonjour ,

Hervé Hoff passe de temps en temps à la caserne castigneau à Toulon , il est réserviste au service technique et habite le PRADET ;

cordialement

Pat

Pour Pencoat 63, mon frère qui a été GendMar quelques années a vécu un certain temps dans un petit immeuble à Brest (avant l'île longue), occupé par 4 ou 6 familles de gendarmes. L'un d'entre eux possédait cette fameuse Jaguar type E (avec 3 essuie-glaces je crois). Je l'avais vu au cours d'une visite à mon frangin. Je ne me souviens pas de l'année, mais cela fait bien une quarantaine. A l'époque, je m'étais dit que les gendarmes étaient bien payés.

A l'attention de cmbil 22: j'ai bien connu l'homme à la Jaguar type E; un farfelu qui a été mis en demeure de quitter la maison. Je ne sais pas d'où provenaient ses revenus, mais, à l'époque (1967) ce n'est pas le salaire d'un gendarme qui aurait pu lui permettre d'acquérir, même d'occasion un véhicule de ce gabarit. Je crois qu'à Toulon, dans la caserne Castigneau, ses arrivées vrombissantes dans le parking avaient défrayé la chronique et lui avaient valu les foudres des Officiers qui, bien sûr, ne disposaient pas d'un tel véhicule. Amicalement.

Bonjour à vous, ayant fait la plus grande partie de ma carrière au sein de la gendarmerie départementale, je garde néanmoins un bon souvenir de mon passage dans la gendarmerie maritime. J'ai intégré cette subdivision, suite à un appel de volontaires en 1977. La circulaire précisait me semble-t-il que priorité était donnée aux anciens marins. Aussi, j'ai eu juste à lever le doigt et dans les six mois qui ont suivi, sans avoir précisé un desiterata particulier, j'intégrais la brigade du CFM Hourtin. J'ai donc passé 5 ans en ce lieu, de janvier 1978 à février 1983. J'en ai donc profiter pour renouer des liens avec la Marine et pour préparer l'examen d'OPJ. Dépendant de la compagnie de Rochefort j'ai néanmoins suivi l'instruction au sein de la compagnie de gendarmerie départementale locale, à savoir celle de Lesparre-Médoc. Excellent séjour sur la côte atlantique au milieu des pins. Ceux qui sont passés par Hourtin, seront de quoi je parle. Logements neufs et individuels dans la colline du côté de la villa du commandant du CFM
J'ai également suivi le stage Affaires Maritimes à Toulon, je ne sais plus exactement à quelle date, peut être en 1980 ou 81 ?
Ensuite retour sous le képi pour rejoindre l'outre-mer (Guyane/Nouvelle-Calédonie).
Bien cordialement
Christian

les gendarmes OPJ excercent aussi leur compétences à bord des sous-marins en cas d'infractions criminelles, à bord d'avions de l'aéronavale pour constater les infractions les diverses ( pêche illégales, dégazage....etc )Amitiés Bod51

Salut, l'homme à la jaguar s'appelait bien GIRY, je l'ai connu à Toulon en 1967, alors que je faisais mon cours de moniteur EPS. Le commandant de compagnie, lui, ne possédait qu'une vieille mercedes !!! Cela créait un climat assez particulier avec ses supérieurs.

Salut, Hervé. Nous nous sommes côtoyés à la Compagnie de Paris en 67 et 68 à la Pep et au Ministère. Quelle période! amitiés.

Salut Pierre-Yves, a l'époque tu n'étais pas encore motard!J'avais cette chance qui me permettait d'aller faire des ballades dans Paris pour porter les divers courriers aux ministeres et autres établissements.Tu dois te souvenir de Claude Tabacco, toujours pret a faire une blague,ainsi que de Duvivier dit "lahurlette",qui donnait des surnoms à tout le monde et dont j'ai essayé de retrouver la trace, sans résultat.D'autres noms me reviennent en mémoire, comme le Maitre-Principal TURLURE, le Maitre LE SAINT,le Premier-Maitre PENDELIO, dont tu doit te souvenir également.Après le service G, j'ai été affecté à la B.R. comme O.P.J.,ou je faisais mes enquètes à moto, puis affecté comme MdLC à DUGNY.J'ai posé ma casquette en aout 1975, à 31 ans et quelques mois, pour une reconversion pas trop mal réussie.

Salut, Hervé.J'ai également fait motard au Ministère. Tu dois te rappeler que, début 1967, nous sommes arrivés à quatre célibataires dont DUVIVIER dit " La Hurlette", GALLAND et VIDAL. Ce dernier a démissionné en décembre 67 et a du rejoindre les Marins Pompiers de Toulon; DUVIVIER est parti en G.D. à FOURMIES dans leNord. Moi, j'ai quitté Paris en septembre 68 pour la Cie de Cherbourg. Je n'ai connu TABACC0 qu'à Cherbourg mais PENDELIO, CARENCO, MARZIN, POISSON, PERDRIX sont des noms qui me reviennent. Bonne journée, à plus...

Salut, Pierre,
Tu dois également te souvenir de Boblet, dit p'tit fût , que j'ai retrouvé en Corrèze il y a quelques années et avec qui j'ai toujours des contacts, j'y ai également retrouvé l'adjudant Pendelio, décédé il y a quelques années, mais qui ne se souvenait plus de sa carrière militaire
Le président FAMMAC en Corrèze, Guy Piron, est également un ancien Gendmar, que certains ont dû connaître
J'ai fait pas mal de recherches pour retrouver "La Hurlette", mais en vain !

Bonjour à tous.
J'ai transmis l'information ( paru dans le Figaro du 20/09/19 ) ce matin à l'association l'Ancre et la Grenade ( Anciens GendMar de Bretagne ).
Personnellement je ne l'ai pas connu, c'était le Colonel AGUILLON qui était aux commandes lors de mon arrivée en juillet 78.

Bonjour à tous,
Article paru ce jour dans l'Essor
" Décès du général Omnes, grande figure de la Gendarmerie 20 septembre 2019

C’est une grande figure de la Gendarmerie qui vient de disparaître.
Maquisard très jeune et initiateur de la fête de la Sainte Geneviève pour les gendarmes, le général de division René Omnes est décédé mardi à l’âge de 95 ans à Vesoul (Haute-Saône), a annoncé sa famille dans le carnet du Figaro.
Il était l’un des tout derniers survivants des officiers généraux de la Gendarmerie à avoir participé à la Résistance, avec le général de division Charles Morel, héros du Vercors, décédé fin 2015 dans sa centième année.

Fils de gendarme, né en 1924, René Omnes tente sans succès de rejoindre Londres par bateau, à l’âge de 16 ans, une dizaine de jours avant l’Appel du général de Gaulle du 18 juin 1940.
Il regagne Paris, commence une carrière d’instituteur tout en s’inscrivant en droit.
Deux ans plus tard, le jeune étudiant organise une minute de silence au lendemain de la bataille de Bir-Hakeim, le 11 juin 1942, dans un amphithéâtre parisien.
Repéré, il quitte Paris pour la Haute-Saône où il rencontre des réfractaires du STO.
A 19 ans, il crée le “maquis 82” qui va compter jusqu’à 150 maquisards et une cinquantaine de véhicules.
Son nom de Résistance est “Simoun“.
Le maquis du lieutenant Omnes multiplie les actions (déraillements et attaques de convois allemands).
Il fait 80 prisonniers et fait soigner les blessés ennemis.
Il s’engage ensuite – selon la formule de l’époque – “pour la durée de la guerre” dans la 1ère armée du général de Lattre de Tassigny.
Il participe à la rude campagne d’Alsace avant d’être admis à Saint-Cyr à la fin de la guerre.

Après Saint-Cyr, il entame une belle carrière en Gendarmerie.
Il a en effet été, à son époque, le plus jeune commandant de compagnie à Dole (Jura) et commandé la légion de gendarmerie maritime.

Initiateur de la fête de la Sainte Geneviève.
Les gendarmes français lui doivent la Sainte-Geneviève comme patronne lorsqu’il était à la direction de la gendarmerie.

En mai 1983, alors commandant depuis quatre ans la région de gendarmerie à Metz, il quitte l’Arme à l’âge de 59 ans.
Quelques jours avant sont départ, il déclarait au Républicain Lorrain : “J’ai toujours dit clairement ce que je ressentais, à plus forte raison pour la défense de mes hommes”.
Auparavant, il avait été auditeur de la 28ème session (1975-1976) de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN).
A sa retraite, il s’implique dans les associations.
Le général René Omnès était aussi écrivain.
Il est l’auteur de quatre livres ouvrages : sur la Résistance (“Pourquoi tu as fait cela mon fils”, “Les éveilleurs de l’Aurore”), l’Indochine (“L’Indochine avant l’oubli”) et la Gendarmerie, (“Un pion sur l’échiquier de la Grande Dame”).

Il était commandeur de la Légion d’honneur, grand officier dans l’Ordre national du Mérite, Croix de Guerre 1939-1945 avec palme et Croix de Guerre des TOE (guerre d’Indochine).
Il fut au total huit fois cité et deux fois blessé.
Il était également titulaire de la médailles des blessés et de celle de combattant volontaire de la Résistance.

Les obsèques du général Omnès ont été célébrées vendredi après-midi en l’église de Port-sur-Saône (Haute-Saône) où il résidait.
L’Essor présente ses condoléances à sa famille.

PMG "

Bonjour ..Merci à toi Tectam ..ce récit est très intéressant et poignant , de connaitre ce (haut) Personnage . Quelle belle carrière..Paix à son âme . Bien amicalement et coucou à Hervé , pour le témoignage précédent . André .

Article journal Le Telegramme de ce jour

Merci Joël;
J'étais invité à la cérémonie mais un empêchement de dernière minute m'a contraint de rester dans le Trégor 29.

J'ai toujours trouvé les appellations de l'armée de terre pour du personnelle portant l’uniforme des Marin

J-M

Joël

merci pour les infos JoJo...!!