par En effet, cet engin était propulsé par deux boosters remplis de propergol solide donnant environ 10 tonnes de poussée au planeur qui atteignait 800 km/h à 200 mètres d'altitude sur une courte distance.
Ces deux réservoirs étaient stockés avec le corps du planeur sur des parcs dans le hangar Malafon. Sur la paroi du hangar, positionnés juste derrière les deux orifices des réservoirs, se trouvaient deux grosses capsules rondes qui conduisaient dans une maille vide volumineuse. Ce vide technique devait permettre d'encaisser la surpression d'un déclenchement accidentel des propulseurs stockés sur leur parc.
La mise à feu intempestive était sensée pulvériser les deux capsules qui libéraient l'accès des gaz à la maille vide.
Dans la foulée la surpression devait en principe provoquer l'ouverture des panneaux "Plénum" qui se trouvaient sur le roof Malafon. Ils étaient reconnaissables aux plaques carrées, bien alignées, avec un gros panneaux qui couvrait chaque accès.
Et logiquement, il y a le déclenchement de l'arrosage complet du hangar Malafon avec le fameux système "SOFRAMI" qui était un véritable cauchemar pour l'entretien des soufflets de dépression.
Bref, je confirme Marsouin ! une véritable usine à gaz ce Malafon.
Photo personnelle
Ces deux réservoirs étaient stockés avec le corps du planeur sur des parcs dans le hangar Malafon. Sur la paroi du hangar, positionnés juste derrière les deux orifices des réservoirs, se trouvaient deux grosses capsules rondes qui conduisaient dans une maille vide volumineuse. Ce vide technique devait permettre d'encaisser la surpression d'un déclenchement accidentel des propulseurs stockés sur leur parc.
La mise à feu intempestive était sensée pulvériser les deux capsules qui libéraient l'accès des gaz à la maille vide.
Dans la foulée la surpression devait en principe provoquer l'ouverture des panneaux "Plénum" qui se trouvaient sur le roof Malafon. Ils étaient reconnaissables aux plaques carrées, bien alignées, avec un gros panneaux qui couvrait chaque accès.
Et logiquement, il y a le déclenchement de l'arrosage complet du hangar Malafon avec le fameux système "SOFRAMI" qui était un véritable cauchemar pour l'entretien des soufflets de dépression.
Bref, je confirme Marsouin ! une véritable usine à gaz ce Malafon.
Photo personnelle
