...groupe Armorique...

msg 442

Joël ,j'ai pris ta photo et j'y ai ajouté les endroits qui,si mes souvenirs sont bons,me semble être au bon endroit...première affectation 75..76
Entrée..pas sure mais dans mes souvenirs quand nous rentrions nous longions le grand batiment.
Terrain de foot...il y avait un petit terrain dans ces environs
B.S.I..certain j'y suis passé quelques fois
cambuse ...certain
garage..certain
équipage..sur et certain
piscine...pas très sur
en contre bas du batiment équipage il y avait à cet époque un gymnase,le stade n'exsistait pas de cette façon et toutes les constructions au-dessus de cambuse et entre le stade n'y était pas,pour aller au stade il fallait monter une grande pente et là nous faisions avec les jeunes la chasse aux Dahuts..
Les autres batiments sont plus "Mousses" donc pas trop de souvenirs

Jobic, je crois que j'ai effectivement taillé le baton pour me faire battre !

J'ai recherché dans mes lointains souvenirs comment étaient occupés les bâtiments en 1962/63 (sans garantie en ce qui concerne les emplacements des chambres, à part maistrance, mais je ne me rappelle plus très bien l'étage). Par contre, la vue des superbes bâtiments du front de mer dans le triste état ou ils étaient m'avait profondément marqué. C'est là que nous faisions nos exercices de formation militaire quand le temps était vraiment trop mauvais dehors. Et il faut se souvenir que l'hiver 62/63 fut particulièrement rude, l'eau des lavoirs étant complètement gelée pendant assez longtemps.



à la place du bâtiment à l'intérieur de la piste d'athlétisme, il y avait une piscine découverte.

Poup y avoir déjeuné l'an dernier, le carré commandant et officiers est dans le petit batiment frontal à gauche, son similaire à droite est celui de l'état major, les salles de cours du lycée naval étant de part et d'autre du hall Richelieu ( grand batiment en front de mer). Joël, tu confirmes?

Je confirme et désolé pour la netteté de mon document....

Et bien Daniel mon cher camarade de promo autant je suis sur des salles de cours à Maistrance autant j'ai un énorme trou de mémoire concernant nos salles de cours aux mousses.
Pour le logement OK, pour le réfectoire de l'époque OK mais salle de cours qu'elles soient 1ère ou 2ème Cie c'est le trou complet et pourtant 6 classes pour la 1, 6 classes pour la 2, 4 classes pour Maistrance......

Bonjour à tous,
eh bien, que de souvenirs à la vue des ces photos...
1- Pour Noël Gauquelin, je confirme que l'hiver 1962/63 fut plus particulièrement rude en Bretagne. On devait casser la glace afin de pouvoir laver nos treillis et autres vêtements, car le rythme des inspecdtions de sac ou de tenue ne se relâchait pas. Et comble de bonheur, la buanderie était en panne. Je ne sais pas d'ailleurs si elle à refonctionné un jour.
Je n'ai pas souvenir que les permanents étaient logés avec les mousses. Il me semble qu'ils avaient leur logement et leur foyer à l'opposé du cinéma. J'ai fréquenté leur foyer durant les permissions de Noël 1962, n'ayant pas pu partir comme mes petits camarades.
2- Pour Joël Chandelier, pour ce qui est des salles de cours des mousses, toujours à la même époque, et pour la 2ème Cie, elles se situaient perpendiculairement à celles des maistranciers, qui eux, avaient vu sur la cour. Et au dessus se trouvait effectivement l'étage Commandement et bureaux, comme indiqué (c'est là, qu'on signait pour en ''ch..''et éventuellement où on passait au rapport, éventualité assez répandue)
3- Pour Jobic, le carré officiers était déjà là, mais le bâtiment similaire à droite abritait des bureaux de gendarmerie maritime. Bien sûr, le lycée naval n'était encore qu'un projet dans les états-majors.
Et il est vrai que les bâtiments du front de mer faisaient pitié.

Notre chère école vue sous un autre angle. Carte postale achetée au foyer en 1964.

On distingue très bien les stade, la piscine et la piste en cendrée de 500m que nous devions parfois arpenter en marchant en canard quand
le silence ne se faisait pas dans les chambrées.

On y voit aussi le lavoir et le séchoir à coté des bunkers de l'armurerie avec sur la droite le garage.

En face du garage, les bâtiments des cuisines, du poste OM et des réfectoires.

Le bâtiment logement des mousses et des maistranciers avec leurs foyers respectifs et le grand hall pavé de superbes dauphins que
certains doivent bien connaître pour avoir compter le nombre de petits carreaux de couleur les composant en punition pour bavardage
après le couvre-feu.

Dans le bâtiment à gauche du mât de pavillon se trouvait le bureau du Cdt et les bureau x de l'état-major des compagnies.
Au rez-de-chaussé les salles de classe.

Pas mal de bâteaux à quai dont le RICHELIEU.

Le front de mer est, comme le dit Nono, en friche.

Pas beaucoup de construction aux abords de l'école. La BOFOST n'était pas encore programmée.

Petite anecdote pour le linge.
J'avais mis mon pantalon de treillis à sécher et quand je l'ai récupérer, j'en ai cassé une jambe.
Le pantalon avait gelé sur le fil.

A présent, les trois bâtiments en front de mer sont de toute beauté, ce qui réhausse la splendeur du lieu. Ce centre d'instruction est magnifique, riche en patrimoine. Il a une autre gueule que la tour et la barre d'immeuble banlieusard de la Baille. Je ne suis pas certain que s'il fallait reconstruire à l'identique l'Ecole navale actuelle en ce superbe lieu de la rade, les autorisations soient accordées.

Pour Bernard; tu as cassé......une jambe de chinois, les zef comprendront

Jobic,

Avec modération ???

Cordialement.

Oui oeuf corse!

Non, pas Corse, mais initiation (tu parles !) par un 'vieux' QM1 Breton ...

Le père Naud?

Après la photo déposée au post 441 par Joël Chandelier, suivie au post 443 de souvenirs bien relatés par Dominique Langlois, j'ai envie de vous faire partager également quelques souvenirs en tant qu'ancien Mousse 2ème Cie, 1967/1968. En balayant du regard de haut en bas la photo évoquée plus haut, certaines sensations, certaines images refont surface et je vous en livre quelques unes ci-après en évitant ce qui a déjà été rappelé par d'autres anciens camarades.
1 - Rappelez-vous de cette piste d'athlétisme de 500 m qui déboussolait ceux qui avaient l'habitude de pratiquer sur une piste conventionnelle de 400 m. J'étais un habitué des pistes cendrées mais n'y avais jamais pratiqué auparavant la marche en canard, et encore moins de nuit !
2 - L'expression "viens derrière le bunker" doit vous rappeler quelque chose. Combien d'affrontements physiques y ont eu lieu ! Il faut dire que du haut de nos 16/17 ans nous étions de jeunes mâles qui trouvaient plus facilement l'apaisement dans l'échange de quelques coups de poing que dans un dialogue constructif.
3 - Dans le cadre des activités physiques dirigées du samedi après midi, nous pouvions nous retrouver au stade mais également en salle d'armes (bâtiment en face du bâtiment principal des Mousses, grande porte de droite à double battant, peinte imitation bois) où l'on pouvait pratiquer l'escrime et le judo. Le Maître d'armes était un 1er maître très gentil dont j'ai oublié le nom et l'enseignant de judo était un appelé 2ème dan nommé Randoullet.
4 - L'accès aux salles de cours de la 2ème Cie se faisait via un hall. Après avoir ingurgité un cours de physique donné par Mr Boucher, ou de français par Mr Kernoa ou encore de math par Mr Lelièvre, c'est en cet endroit, en fin d'après midi, que nous recevions une tartine de pain et une barre de chocolat.
5 - Je termine par le dernier bâtiment en bas à droite de la photo : le bâtiment de l'état major de l'Ecole. Lorsque dans le cadre des tours de service l'on se retrouvait planton et qu'il fallait apporter des documents aux hauts gradés de ce bâtiment, quel stress ! Ma tenue était-elle correcte ? Saurai-je effectuer un demi-tour droite convenable ? etc ... Je me rappelle également que ce bâtiment ne souffrait d'aucune médiocrité quant à la qualité du poste de lavage.
Voilà pour quelques souvenirs remontés spontanément à la surface simplement à la vue de la photo de notre belle Ecole.
Bien amicalement à tous,
Patrice Biron, le 12/01/2011

Merci Bernard pour cette vue ! On peut constater le changement d'environnement autour de l'école: Beaucoup de constructions en plus, mais hélas beaucoup de navires en moins. Sinon, Boboss et toi me confirment dans mes souvenirs d'il y a presque 50 ans, bien qu'à mon heureuse époque je n'ai jamais connu la marche en canard et autres punitions collectives (merci commandant Chaminade).

au risque d'avoir l'air bête, pour ne pas changer, c'est quoi la marche des canards ou la marche en canard ?
car au vue de leur comportement à ces bestioles, je vois mal les mousses gravir les marches d'escalier en faisant autrement que de mettre un pied devant l'autre et de recommencer.
Je demande à être instruit

J' ai de bon souvenirs de "marche en canard" à 1h30 du mat suite a des chahuts...
Donc cela consistait à tourner sur le terrain de sport accroupi par terre.. sans ceinture au pantalon et sans lacet aux chaussures, voir avec le mousqueton levé au dessus de la tete..
Je vous prie de croire que ça calme.......et si vous essayiez de tricher, vous vous faisiez renverser d'un coup de pied bien placé...

Accroupi, marche comme un canard en avancant les jambes une par une en latéral et fusil au bout des bras levés ( au moins à l'EAMF) le tout autour du stade et bien souvent de nuit.
Aux arpètes, il y avait une seconde distraction tout aussi intellectuelle;: le peloton (dit la pelote) à l'heure de la bouffe du soir.Cela consistait en quelques corégraphies effectuées après perception des armes comportant la marche en canard de plein pied ou dans les escaliers, les pompes avec doigts sous le fusil et parfois le pied du sacco dessus. Si sage: manger la bouffe, si pas sage, pas de bouffe.Je dois en oublier car nos braves gradés n'étaient jamais à court d'imagination surtout les jours avec. On s'amusait bien alors

accroupi mon bon ,
avec une variante le mousqueton a bout de bras et casque lourd sur la tete bon on n est pas mort donc ça a du nous faire du bien . je m aperçoit que mine de rien j ais fait un cumul : la piste en cendré de nuit mais aussi le dimanche a la désherbée le front de mer délabré oui mais ses escaliers dur dur a monter puis descendre le mousqueton sur l épaule
l hiver 63/64 le lavoir a aussi gelé et je ne suis jamais arrivé au bout du comptage des carreaux des dauphins pourtant je mis suit appliqué plusieurs fois
et par contre en écoutant bien les conseils prodigués sans arrêt par l officier des equipages L HELGOACH je me suis toujours appliqué a bien regarder droit dans les yeux la personne en face de moi sur le trottoir et surtout ne pas lui laisser ma place sauf aux dames bien sur
souvenirs souvenirs

Au temps qu'il me souvienne, le front de mer en 1971 était en parfait état et tout en pelouse.
Quant aux deux dauphins, bien que je ne les ai jamais comptés, l'un devait avoir 182 carreaux et l'autre 183. En tout cas, c'est le bruit qui courrait.

je ne sais si quelqu'un un la jamais vraiment su mai si tu donné un chiffre dans les normes aussitôt question subsidiaire ..lequel est le mâle...ou est la femelle ???