MERCI POPEYE DE RENDRE A = CÉSAR : je veut dire a jaques 26

en effet le monsieur qui lit la = marseillaise , a l'extreme droite , c'est bien moi !

il faut dire que les latrines ( sur laquelle nous sommes assis ) est un demis tube dans lequel , circule de l'eau en permanence !

pas d'odeurs , pas de bruit , que du boheur ! vive = L' ARROMANCHES

salut jacques je n'avais pas fait le rapprochement avec ton pseudo.
quand tu m'avais envoye cette photo pour tremblez j'avais voulu mettre au milieu afin qu'elle ne soit par reprise "anonymement" cette petite phrase.

amities andre

DES CHIFRES POUR LES DEUX = JEAN-BART et RICHELIEU

IL Y AVAIT 3 ANCRES A L'AVANT ET UNE A L'ARRIERE

a l'avant chaque ancre pèse = 10 tonnes 370
le = Ø du rond acier , d'une maille est de : 88 mm
il y avait = 10 maillons par ancre soit total : 300metres
en secours le barbotin , pouvait etre entrainé par = 22 barres a bras
un disjoncteur coupait , l'éffort sur la : chaine a = 75 tonnes

l'ancre arriere pesait = 3 t 470

LE GOUIN a écrit:Bonsoir,
René03 a une excellente mémoire : le pont blindé supérieur du RICHELIEU avait une épaisseur comprise entre 150 et 170 mm. Le poids total de la protection (blindage) était de 16500 tonnes représentant 37 % du déplacement.
Les huit pièces de 380 avaient bien une portée d'environ 45 km et l'obus pesait 883 kg.
On peut voir à l'école navale une pièce (et non la tourelle) de 380 et il existe encore pas mal d'obus dans diverses unités de la marine en particulier au CIN de Saint Mandrier (à l'entrée à l'extérieur de la salle d'honneur).
Le RICHELIEU a été vendu à un chantier de démolition italien et il est parti de Brest en remorque vers La Spezia.
Je n'ai pas relevé l'acquéreur du JEAN BART mais, sauf si l'âge a altéré ma mémoire, je pense qu'il a été démoli à La Seyne sur Mer près de Toulon, juste en face des appontements de Milhaud où nous étions amarrés.
Cordialement JL

Je suis resté a quai a coté du Richelieu sur le Tourville . Les deux navires composaient l'ecole des Mecanicien a Brest . Je me rappelle que l'epaisseure
citée pour le pont blindé etait de 40 cms ou alors c'etait la reference au calibre de380 presque 400 ........... Si je repasse au musée de la Marine a Paris j'irai verifier ..
Salut 2856T57 Olivier

marcot a écrit:Je ne sais pas s'il s'agit du Jean Bart ou du Richelieu ( les spécialistes de l'identification nous le dirons ) mais par contre j'ai bien reconnu le cadre de maistrance

J'opterais volontier pour le Richelieu, le Jean-Bart avait un bloc passerelle plus carré et moins élancé que le Richelieu.

:oops: :oops: :oops:
Désolé les gars, j'ai la curieuse impression d'avoir une guerre de retard. :oops:

Voici une photo du richelieu

C'est super :cheers: marcot voici 1/4 d'heure que j'essaie de mettre la meme photos???

Bienvenue Paillette et respect à ton papa!

Le mien était heureux d'entendendre le grondement des gros calibres du Richelieu en appui feu quand il participait, au sol, à la reconquête de l'Indochine!

Jakez

"L 9003"
Je l avais jamais vu sous cette livrée 2 tons .

Il a même existé une tenue de camouflage, tout comme les tenues, et une peinture spéciale qui faisait ressembler ce Bâtiment de ligne à un aviso, des teintes plus foncées au milieu et devant et derrière des tons plus clairs qui pouvaient laisser croire de loin que c'était le reflet ou une impression d'optique.

Le richelieu en 1967 à Brest

"Claude JORGE"
Exact claude, je possède une photo du richelieu en tenue de camouflage, elle trône depuis x années dans mon salon, mon papa m'a souvent expliqué que c'était pour tromper l'ennemi (on crois voir deux navire), malin les marins !

MAGNIFIQUE!! :bounce:

Je crois l' avoir visité à cette époque j'avais 11 ans

Très beau cuirasssé le Richelieu

Le mieux, c'est 600 pixels de largeur.

C'est normal qu'elle soit grande, c'est un cuirassé, un increvable, un boum boum, le bateau que si t'es à terre et que le commandant ne t'aime pas, il t'envoit une petite salve des huit 380 mm sur ta baraque et t'es plus là pour le raconter. Scusez pour le dérapage mais je suis juste sorti de l'apéro :D

Le Richelieu.
Dérivé de la classe du Strasbourg et du Dunkerque, le cuirassé Richelieu, tout comme son "sister-ship" le Jean Bart, a été conçu pour opérer dans la Méditerranée dans un éventuel conflit avec l'Italie.
Il disposait d'un blindage, d'une vitesse de pointe et d'un armement qui en faisaient le fleuron de la Marine.

Caractéristiques :

Type Cuirassé
Longueur 247,90 m
Largeur 33,10 m
Tirant d'eau 9,70 m
Tonnage 48 000 t
Vitesse 30 nœuds
Moteurs 4 turbines de 150 000 ch.
Armement 2 tourelles de 4 canons de 380, 3 tourelles de 3 canons de 152, 6 tourelles de 2 canons de 100 AA (pièces anti-aériennes), 14 * 4 pièces de 40 Bofors, 48 pièces de 20 Cerlikon
Blindage 343 mm en ceinture, 50 à 170 mm pour les ponts et 445 mm pour les tourelles
Equipage 70 officiers, 1550 hommes

Mis en chantier en octobre 1935 à l'arsenal de Brest, le Richelieu fut lancé en janvier 1939 et les premiers essais eurent lieu durant le printemps 1940.

En juin, il appareilla de Saint-Nazaire pour Dakar où il fut attaqué le 8 juillet par les Britanniques qui craignaient que la marine française ne passe à l'ennemi.
Touché par une des torpilles lancées par les Swordfish du porte-avions Hermes, le Richelieu se retrouva immobilisé.

En septembre de la même année, le bâtiment combattit l'escadre anglo-gaulliste aux ordres de Cunningham lors de l'affaire de Dakar (23-25 sept.) et notamment les cuirassés Barham et Résolution.

Lors du passage de l'AOF dans le camps allié, le Richelieu rejoignit New-York, où il fut modernisé (perfectionnement de la défense anti-aérienne avec par exemple l'ajout de canons de 20 mm sur la tourelle supérieure avant).

Il intervint au côté des américains pendant la guerre dans le Pacifique.

En octobre 1945, le Richelieu venu de Trincomalee participa avec les croiseurs Gloire et Suffren, le transport d'aviation Béarn et le ravitailleur Ville de Strasbourg au débarquement au cap Saint-Jacques et à Saigon des premiers détachements (9ème DIC et 2ème DB) du corps expéditionnaire français sous les ordres du général Leclerc.
Il participa également avec le Triomphant au rétablissement de la présence française sur les côtes d'Annam.

Le cuirassé fut également engagé à Suez en 1956.

Désarmé en 1967, le Richelieu fut vendu à un chantier de démolition italien (à La Spezia) et démoli l'année suivante.

Du Richelieu, il reste une pièce de 380 exposée à Brest dans l'Arsenal, sous le pont de Recouvrance et une autre à l'Ecole Navale.
Dans la salle d'Armes de l'Ecole Navale sont exposés 2 obus de 380, les tapes de bouches à feu des 380 et des 155 (en bronze), la cloche du bord et un éclat de bombe anglaise ayant touché le navire.

Remerciements à Jean-François Malthete (dernier quartier-maître charpentier du Richelieu en charge de la coque) pour ses corrections et compléments.
Source pour le texte : http://jerome.caffet.free.fr/histoire/le_richelieu.htm
Source image : http://www.mo-na-ko.net/galerie/real_valecne/FNRichelieu/Page.html

Ce merveilleux navire à eu longue vie! Guy se souvient : "qu' en Février 47 ils partirent à la rencontre du cuirassé anglais Vanguard sur lequel avaient embarqués la famille royale pour se rendre en Afrique du sud. 21coups de canon de 100 sont tirés pour saluer le Roi Georges :king: et la Reine :queen: accompagnés de leurs filles Elisabeth ( qui vient de fété ses 80 ans ) et la princesse Margaret et avoir naviguer en parallelle avec le cuirassé Anglais. L' équipage du Richelieu est au poste de bande malgré une mer mauvaise et crie pour saluer ces majestés hip hip hip hourra !! :cheers: :cheers:

Que de souvenirs Guy ?

Moi j'ai fais le Jean Bart , mais uniquement pour les cours et le Bâtiment ne naviguait plus.

C' est aussi un privilège Claude je transmettrai car Guy a cette heure :sleep: :sleep: à bientot!

Qui peut me dire comment et en quelle année ce merveilleux navire à terminer sa carrière :?: je sais qu' il est parti de Toulon vers l'Italie pour la ferraille que c' est triste!

Bonsoir.
Toujours ça pour commencer "Désarmé en 1967, le Richelieu fut vendu à un chantier de démolition italien (à La Spezia) et démoli l'année suivante."
A bientôt.