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Pour ceux qui n'ont pas visionné la rubrique "VIGIE" voici la nouvelle vigie à gauche sur la photo prise depuis ma fenêtre de chambre, (la date de mon appareil n'est pas réglée).
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Bonjour Guet
J'ai connu Cherbourg en 54 et en même temps le Spahi (11/8/54 au 11/3/55) puis les Dragueurs Achernar,Algol et Dénébola d'ou j'ai débarqué en 56 pour rejoindre la vie civile.
Avec le Spahi,il y avait le Lansquenet son double qui avaient leur poste d'amarrage près des hangars
de la DCAN ou l'on construisait tout doucement le 1er Sous-marin atomique:Le Terrible.?...ou le Redoutable ? Je ne me rappelle plus très bien....C'est loin !

G.Tragin

Pour GUET
Embarqué sur le Spahi du 21/05/56 au 11/12/57 nous étions donc ensemble lors de ton court embarquement.
Tu peux voir des photos du Spahi sur le post "les escorteurs côtiers" Messages 361_366_368
@+

Dommage, ça avait un certain caché !

Ca va faire un sacré changement quand j'y retournerais mais quand ??
Le père de mon épouse et sa deuxième femme(la première étant DCD quand mon épouse avait 6 mois ) y ont habité quelque années en rentrant d'une :nous on appel cela une campagne les biffins??

J-M

En parcourant ce sujet, je m'aperçois que si de nombreux "hauts lieux" cherbourgeois de la vie du marin ne manquent pas d'être cités, il en manque au moins un qui fut pourtant assez coté à son époque. Qu'on ne me dise pas que dans les années 70/80 personne n'est allé manger le célébre couscous de chez Yayah au café des Voûtes à Equeurdreville!
Voici comment je l'ai découvert moi même.
A la sortie du B.S. affecté au C.A. 1ére Région (environ 35 militaires et 3 civils) je me retrouve en plus de mon boulot propulsé, en temps que dernier arrivé, à la noble fonction d'Adjudant de Cie.
Quelques mois passent et un beau jour, mon commissaire vient me trouver:
-Bon, nous avons une masse d'entretien des personnels (un crédit) bien dodue et comme il existe une ligne "bien être et loisir de l'équipage" j'ai décidé que nous allions organiser en mileu civil un repas
pour tout le monde sauf ceux de permanence; Je vous demande donc de prospecter en vue de dénicher un restau de qualité, pas trop éloigné pour tant de personnes et dans telle limite financiére.
Aidé par un ou deux copains, notre choix se fixe donc chez Yayah pour un couscous.
Al'époque, il fallait justifier à la porte des sorties en dehors des oeuvres ouvrables.
Mon commissaire: Pas de problémes vous m'établissez une S.A.T. (autorisation de sortir à terre) en marquant au dos de l'imprimé les noms et matricules de tous les participants.
Bien mr le commissaire donc je note midi pour l'heure de sortie mais pour la rentrée?
- Vous laissez en blanc, je noterai l'heure moi même quand nous aurons terminé. Et d'ailleurs, je vous précéderai à la porte de l'arsenal pour éviter toute discussion.
Nous avons ce jour là fait un excélent repas dans un trés bon esprit de camaraderie qui a eu pour effet de serrer les liens entre la plupart des participants.
Petite anecdote: nous étions attablés depuis une vingtaine de minutes et qui voyons nous débouler?
les cinq ou six permanents affectés au PPSD (sécurité militaire de l'époque) de Cherbourg qui avaient eu la même idée.
Au début, cela a jeté un froid de quelques minutes de part et d'autre puis nous avons pris le café digestif ensembles.
Cela prouve qu'avec un chef qui n'a pas peur de mouiller la chemise on peut aller loin.
J'ajouterai que c'était un peu un précurseur car à l'époque, les sorties ou repas de cohésion, généralisés par la suite, n'existaient pas encore.
-

Dans les années 1975/76 on mangeait un excellent couscous dans un petit resto dont je ne souvient pas trop l'emplacement:soit dans la rue de la soif ou alors à proximité.Ce resto,qui s'appelais "L'ETOILE D'ALGER",si je ne me trompe pas,était tenu par une bretonne,épouse d'un maître fusco du CIN Querqueville(où je faisais le BS elec) surnommé "BEN", d'origine kabil,assez bourru en apparence,mais sympa en réalité.Ce couscous ,à la mode marocaine,cuisiné par une Bretonne(conseillée peut-être son mari) était un délice.

Pour également un fameux couscous il y avait le restau devant la PréMar

J-M

pour Jean Marie
en 70 - 71 devant la Prémar de Cherbourg c'était un petit bistrot tenu par des personnes âgées mais pas de resto !
on appelait ce bistrot l'annexe car quand on était de garde à l'aubette on allait de temps en temps se boire une bière et même le patron un dunkerquois nous emmenait chacun son tour !
heureusement le bidel ne le savait pas !!
des bons souvenirs !!
et pour le resto à couscous je n'ai pas connu non plus ! remarque en ce temps là on faisait surtout la rue de la soif pour la soif !!!!
Bernard

Pour ma part je me rappelle d'un resto ou on mangeait un excellent couscous très copieux aussi, c'était rue Hippolyte de Tocqueville (rue juste en face de la porte principale ) cela s'appelait le Cabernet et était tenu par un rapatrié d'Algérie très sympa .

Oui le Cabernet, excellent couscous et apéros avec plein d'amuse gueule sympa

Donc je me trompe bien et tu as raison Wispelaere
C'est celui dont parle certainement les deux compères Mashpro et
Kariboo à l'apéro il nous filait des trucs pimenté etc .Il y avait une cheminée dans le resto pour y faire cuire les merguez et autre
A eux de confirmer

J-M

Oui Jean Marie tu y es.
Les moules à vous arrachées la g..... , des olives farcies ....
Je ne me souviens plus du prénom du patron, mais on était bien reçu les matafs.

Absolument les apéros étaient fabuleux et le reste à la hauteur.Et il est vrai que les matafs étaient très bien accueillis.

Je la place là, ne sachant pas trop où la mettre

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L' escale à Cherbourg du sous-marin Allemand U28 du 8 au 10 décembre 1992.
J' avais annoté sur mon album : " Le U28, c' est 22 hommes, 450 tonnes d' acier, une propulsion diesel/électrique, un radar démesuré, une ambiance chaleureuse ".

Je suis monté à bord ( j' étais sur le Triomphant et c' est nous qui le recevions ) le 9 décembre pour le visité, par une porte sur l' avant du kiosque donnant accès à l' échappé donnant au PCN0, nous devions être environ cinq et stupidement je suis resté en bas de l' échelle et me suis ramassé un bon coup de botte ( non volontaire ), chez nous ( le Triomphant ) personne ne parlait Allemand, sauf un matelot Alsacien qui arrivait à " baragouiner " avec eux, grâce à lui j' ai pu troqué un bachi Français contre celui de l' unique matelot du bord, bachi que j' ai toujours.
Pour en revenir à la visite, du PCN0 en regardant vers l' arrière on voyait les diesels, en regardant vers l' avant, sur bâbord l' unique poste fermant par un rideau, celui du commandant, face à lui à tribord, la cuisine, à coté en accès directe les poulaines, puis le le local torpilles servant aussi de lieu de vie au reste de l' équipage, le matelot dormant juste sous les tubes lance torpille.
Cette visite étant proche de noël, on une offrit une bière dans une choppe grande, comme, bref immense !
J' en garde vraiment un très bon souvenirs ( un bachi, une tape de bouche et cette photo ), des gars vraiment sympas.

et si je me trompe pas ce doit etre Robert le pilote!!

Oui Léon, je ne le connaissait pas à l' époque, c' est lui qui faisait des nœuds et cordages en bois sculpté, il me semble

oui c'est lui

Trés bonne photo Bebert.
Ton récit sur la visite du Soum allemand m'en rappelle une effectuée dans sensiblement les mêmes conditions à bors d'un dragueur de mines de même nationalité vers 1965.
A part une année d'apprentissage de cette langue en 4ième et vite oubliée par moi, aucun participant des 4 que nous étions ne maitrisait le sujet.
Comme tous le savent sur ce forum,aprés dégustation de quelques bières ensembles, la barrière de la langue était vite dépassée.

Gérard, les bars de la rue de la soif ont quasiment tous disparus, c'est des kebabs qui les remplacent., quand à Napoléon sa statue est en cours de démontage en vue d'un grand carénage et doit être remontée en cours d'année prochaine.

Mes photos ont un peu plus de 4 ans (avril 2011) mais depuis cela n'a pas du changer beaucoup (à l’exception de Napoléon dixit Mashpro) La 1ère photo (entrée de la Mairie) n'est que la 2ème partie de la rue de la soif (en fait la rue de la soif c'était plutôt 2 rues l'Union et la Paix qui pouvait se poursuivre jusqu'a la rue de la tour carrée et le bar de la "Générale" bar démontable puisqu'il se trouvait parfois mis dehors lors de fin de nuit (1h00 du mat, seul le Club avait autorisation jusqu'à 4h00 du mat')
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Au sujet de Napoléon il était une histoire "vaseuse"
"tu sais qu'on a descendu du cheval Napoléon?"
"non, pourquoi?"
"ben c'est parce qu'il avait envie de p....r"

Bonjour Joel ;( et aussi a l'attention de richard gérard)
Regarde sur Google Maps , tu verras, il y a eu récemment un complément dans les vues des rues de Cherbourg ( juin 2015). Tu pourras circuler rue de la paix et rue de l'union. Fais attention, il y a des travaux ou il y avait la salle de billard ( de notre temps..!) en face le cinéma l'omnia devenu centre culturel. Par contre il y a pas mal de changement : plus de bistros mais c'est devenu exotique..!
Sur ta deuxième photo, a l'angle ,a gauche,au deuxième étage de l'immeuble ,on peut voir les deux fenêtres de la chambre que je louais en 65-66 quand j'étais QM2 commis a l'EMES ( je payais un loyer de 50 frs par mois) Mes parents habitais Cherbourg , a la limite d'Octeville mais je préférais mon indépendance et cela ne faisait pas loin pour retrouver les copains dans les deux rues toutes proches..!

Oui qui le savait? nous avons un cheval truffier içi à Cherbourg-en-Cotentin.Le 7 octobre nous l'envoyons ainsi que son noble cavalier dans le Périgord,non pour faire la cueillette mais pour un relooking.Dommage qu'il n'est pas préféré les cêpes nous aurions pu le garder en Normandie pour faire le même travail.Le Corse va pouvoir faire un bisou à notre roi Henri IV et profiter comme dit Joel d'aller faire un petit pipi ,depuis qu'il attend !!! heureux qu'il n'est pas la prostate !!!!